Il se termine ainsi :
"Je fais vivre des personnages, des pensées, des sentiments de papier, j’avance dans un récit, une forêt dans laquelle je taille ma route à coups d’accents, d’inflexions, de vitesses, de ralentissements, de changements de registre, et de variations sonores.
Lisant à voix haute, d’autres voix se font entendre, dans la mienne"
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